1 -
Je suis vu le 03/04/2007 vers 19 h 45 par un gendarme de Vernon avec
un téléphone portable à la main alors que je conduis un véhicule
Renault dont je suis propriétaire. Je ne téléphone pas, mais je l'ai
en main car il était sur le tableau de bord et a glissé dans un
virage : je l'ai attrapé avant qu'il ne tombe à terre et je l'ai
bêtement gardé à la main au le de le poser sur le siège du passager.
Pour
voir l'historique factuel des évènements, cliquer sur la main à
droite.
En
complément de cet historique factuel, on peut penser que le gendarme
s'est trompé de permis de conduire lorsqu'il a saisi des
informations sur l'ordinateur : il a saisi celle de mon fils XXX et
non les miennes YYY sans s'en rendre compte, avant de me tendre la
souche rose que j'ai renseignée de mon nom et de mon prénom avant de
la signer. |
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2 - Je paye l'amende.
Pour voir l'amende, cliquer sur la main à droite. |
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3 - Fin août 2007, je reçois la notification de la perte de 2 poins,
mais pas sur mon permis (YYY), sur celui de mon fils XXX.
Pour voir cette notification, cliquer sur la main à droite. |
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4 - Dans les délais légaux, j'adresse une
réclamation par LRAR auprès du Tribunal de Police d'Évreux qui est
compétent pour ce type de réclamation. Les PJ mentionnées sur ma
réclamation sont :
PJ n° 1 : une copie de l'amende et du
document notifiant la perte de points (points 2 et 3 ci-dessus),
PJ n° 2 : la chronologie factuelle des
évènements (point 1 ci-dessus).
Pour voir cette réclamation, cliquer sur la main à droite. |
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5 - Le 23 novembre 2007, je reçois un papier qui est présenté comme
une prétendue réponse du Tribunal de Police à ma réclamation.
Pour voir l'enveloppe et le cachet de la poste, cliquer sur la
main à droite. |
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5 bis : Ce papier est de toute évidence "un
faux" destiné à me faire croire que le Tribunal de Police a examiné
ma réclamation et l'a rejetée.
C'est un faux, car :
- il est daté
du 11 novembre qui est un jour férié !
-
l’objet du courrier est erroné, car ma
réclamation ne concerne pas une infraction à la vitesse, mais un
téléphone que je tenais en main en conduisant mon véhicule (!),
-
ce courrier n’est
pas référencé comme doit l’être tout document officiel émanant d’un
ministère de la République,
-
ce courrier est
signé « P/L’OFFICIER DU MINISTÈRE PUBLIC », sans mention ni de
l’identité et de la fonction de la personne qui a signé ce document,
ni de la signification de « P » (par intérim, par délégation, etc.).
Ces informations sont pourtant obligatoires,
-
ce courrier
n’indique pas les éléments légaux qu’il est également obligatoire de
faire figurer sur le compte rendu d’une audience du Tribunal de
Police adressé à la personne qui a porté réclamation, à savoir au
minimum :
§
la date de la décision,
§
le n° d’enregistrement au Greffe,
§
les recours possibles pour
éventuellement contester cette décision.
Pour voir ce "faux", cliquer sur la main à
droite. |
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6 - Sans mentionner le terme "faux", je
fais légalement opposition à la décision ainsi notifiée dans le
délai de 10 jours après notification de cette décision par LRAR du
25 novembre 2007.
Pour voir ma lettre d'opposition, cliquer
sur la main à droite. |
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7 - Pas de nouvelle du Tribunal de Police depuis ma lettre du 25
novembre 2007. Décidément, la justice à du mal à reconnaître les
erreurs des gendarmes.
Ayant peur que mon cas soit volontairement
"oublié", et ayant récemment déménagé, j'adresse le 31 mars 2008 un
courrier au Tribunal de Police par LRAR pour :
- lui indiquer ma nouvelle adresse,
- lui rappeler les termes de mon courrier du 25 novembre 2007, et
notamment que leur pseudo réponse précédente était entachée de
graves erreurs et omissions.
J'ai mis en PJ une copie de l'accusé de
réception de ma lettre du 25 novembre 2007 (PJ n° 1) et de leur faux
courrier du 11 novembre 2007.
Pour faire bonne mesure, j'ai adressé une
copie de ce courrier à Monsieur le Procureur de la République
d'Évreux (il disposera donc du "faux" qui m'a été adressé).
Pour voir ma lettre, cliquer sur la main à
droite. |
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8 - Toujours sans réponse du Tribunal de police d'Évreux à la
mi-juin, je demande une assistance juridique à la GMF dans le cadre
d'un de mes contrats.
Pour voir ma demande, cliquer sur la main à
droite. |
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9 - L'assistance juridique pour une affaire ayant trait au
code de le route n'étant pas prévue à mon contrat d'assurance,
j'adresse alors un courrier au Préfet de l'Eure par LRAR .
Pour voir ma lettre, cliquer sur la main à
droite. |
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10 - Réponse du Préfet de l'Eure : il saisit le Tribunal de
police pour que celui-ci établisse avec diligence la réalité des
faits et prenne les mesures en conséquence.
On peut espérer que le Tribunal de Police d'Évreux obtempèrera à
cette saisine.
Pour voir cette réponse, cliquer sur la
main à droite. |
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11
- Toujours sans réponse du Tribunal de police d'Évreux le 30
septembre 2008, j'adresse un Mail de relance à la personne qui est
chargée de mon dossier à la Préfecture de l'Eure.
La réponse est équivalente à "je botte en
touche".
Pour voir le texte de mon Mail ainsi que la
réponse, cliquer sur
la main à droite. |
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12 - La réponse "je botte en touche" ne me
convenant pas, j'adresse un autre Mail à mon correspondant à la
Préfecture de l'Eure. La
réponse est "téléphonons nous".
Pour voir le texte de mon Mail ainsi que la
réponse, cliquer sur
la main à droite. |
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13 - La conversation téléphonique n'ayant
pas abouti, j'ai essayé de recontacter mon interlocuteur à la
Préfecture de l'Eure dans l'après midi, mais sans succès. Je lui ai
donc adressé un Mail. La
réponse est malheureusement un retour à la "case départ" !
Pour voir le texte de mon Mail ainsi que la
réponse, cliquer sur
la main à droite. |
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14 - Ne pouvant accepter ce "retour à la case départ", j'adresse un
autre Mail à mon correspondant à la préfecture.
La réponse est en attente.
Pour voir le texte de mon Mail ainsi que la
réponse, cliquer sur
la main à droite. |
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15 - Une nouvelle fois sans réponse,
j'adresse en désespoir un courrier au Médiateur de la République.
Pour voir ma lettre, cliquer sur la main à
droite. |
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16 - Réponse du médiateur
Il ne peut rien faire pour moi, même s'il est totalement scandalisé
par l'attitude des gendarmes.
Il ne peut rien faire car un gendarme a affirmé avoir formellement
reconnu mon fils au volant de ma voiture et non moi même.
Comme quoi, aujourd'hui en France, la parole d'un gendarme qui ment
a plus de valeur qu'un document écrit et signé.
Il faut le savoir ! |
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